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L'héroïne, les opiacés, la codeïne, la morphine, l'opium...Tous ces produits sont de la même famille. En allant du risque moindre au plus grave. Le risque antidouleur pour lequel on l'utilise en médecine. En consommation quotidienne, il a pour inconvénient de marquer le principal symptôme de beaucoup de maladie et d'en retarder les soins. Les caries dentaires, elles sont spectaculaires et apparaissent au bout d'un ou deux ans d'usage intensif (1 gramme intraveineux par jour ou 2 grammes en sniff c'est à dire par le nez). La constipation est permanente. Les douleurs de type ulcéreuses, gastriques s'expriment surtout lors du manque de produit. L'impuissance et l'absence de règles. Cela correspond à un phénomène de misère hormonale. La peau de fane, chez la femme, les seins "tombent", chez l'homme l'impuissance est très fréquente ou se réduit parfois à des érections sans éjaculation. Ces signes disparaissent à l'arrêt de l'usage. L'overdose. Elle correspond à un surdosage. Elle peut se prolonger jusqu'à la mort. Dans un certain nombre de cas, le jeune se réveille avec des dégâts cérébraux très importants. Ces dégâts se manifestent par des crises d'épilepsie et un déficit intellectuel définitif. Enfin l'état de manque, pas dangereux, se caractérise par une agitation intense, des angoisses, des coliques, des crampes.
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